Line 7. —— sulphurous showers Bursting on Calicut's perfidious towers. Lusiad, Book 8. 24. My first bold task —— See Preface. 40. Before him wide the dark-browed forests frown'd— According to Pinkerton, forests are frequent in Dalecarlia. This remark seemed necessary, to obviate the objection against placing woods in a mineral soil. 92. Gustavus. Gustaf Wase, or Gustavus Vasa, was the son of Eric Vasa, governor of Halland, and was cousin-german to Steen Sture. Being the grand nephew of King Canutson, he was descended from the ancient kings of Sweden. Before his confinement by Christiern, he was one of the moving springs of the state; he assisted Sture with his counsels, which were bold and judicious, and gained a signal victory over the Danes. Christiern, receiving him as a hostage, caused him to be arrested and carried him to Denmark, where, by the request of Eric Banner, he was entrusted to the care of that nobleman. From his custody, however, he soon escaped, and traversed the various provinces of Sweden, in hopes of exciting at least some of them to assert their independence. His efforts, however, surprising and unwearied as they were, did not avail, 'till he arrived in the remote province of Dalecarlia. His unexpected appearance there among the peasants excited the whole province to revolt, and an army, assembled in haste, stormed the Governor's castle, and destroyed the greater part of the garrison. After this beginning, his successes gradually increased, and Angermanland, Helsingland, Gestricia, and other governments almost immediately came over to his party. He sustained a war against the whole powers of Christiern for some years in a most skilful and indefatigable manner, and succeeded at last in expelling Christiern, Trolle, and Norbi, from the land of which he was now elected monarch. A task, scarcely less difficult, remained—to extirpate the Catholic religion from Sweden. This he effected, and established Lutheranism on so firm a basis, that it has resisted all attempts to shake it. After a long and really glorious reign, he was succeeded by his son Eric the Fourteenth, in 1560. In him were combined all the qualities necessary to constitute a hero; he was enterprising, vigilant, proof against pleasures, brave, prudent, and generous. He erected Sweden to a degree of power and respectability unknown before, and laid the foundation for the victories of Gustavus Adolphus and Charles the Twelfth. For the particular events of his life and reign, see Vertot, Puffendorff, the EncyclopÆdia Britannica, and most modern histories. 128. How Haquin triumph'd, or how Birger fell— Haquin and Birger were common names among the earlier kings of Sweden. 135. —— the Mistress of the Northern Zone. Margaret, who united the three northern kingdoms, and whose empire, like Alexander's, did not long survive after the death of its founder. 138. —— the thirteenth Eric. The successor of Margaret. He is called the thirteenth by Vertot, though according to other accounts he was but the tenth or eleventh. 198. 'Twas then, when, &c. The Massacre of Stockholm, as it is commonly called, happened on the 8th of November, 1520. Of this almost unparalleled act of baseness and cruelty, Vertot (p. 113, 114, 115, Amst. ed.) gives the following account, from Zigler, who was an eye-witness, and many other authors of credit. The pretext for this execution was the demolishing of Stecka, a castle belonging to the traitor Trolle, which the Swedish States had ordered to be rased, contrary to the bull of Leo the Tenth. "Le nouveau Roi fit ensuite inviter tout ces Seigneurs À une fÊte magnifique qu'il fit dans le chÂteau, pour marquer la joie de son avÈnement a la couronne. Le SÉnat en corps, et ce qu'il y avoit de Seigneurs de la premiÈre noblesse, À Stocolme, ne manquÈrent pas de s'y rendre: ce ne fut pendant les deux premiers jours que festins, que jeux, que plaisirs; Christierne affectoit des maniÈres pleines de bontÉ et de familiaritÉ; il sembloit qu'on eÛt enseveli dans la bonne chÈre la haine et l'aversion que les deux parties avoient fait paroÎtre si long-tems l'une contre l'autre; tout le monde s'abandonnoit tranquillement À la joie, lors que, le troisiÈme jour, les SuÉdois furent tirÉs de cet excÈs de securitÉ, d'une maniere bien funeste." He then proceeds to relate the proceedings of the Danish Monarch against the Nobility, in the way of accusation, by means of his ministers the Danish Bishops, and the Pope's Bull; and having described their pleas, &c. thus continues: "Ce Prince sortit ensuite de l'AssemblÉe, comme s'il cut voulu laisser la libertÉ aux commissaires de dÉlibÉrer: mais en mÊme tems on vit entrer une troupe de soldats de ses gardes, qui arrÊtoient la veuve de l'Administrateur (Christina), les Senateurs, les EvÊques mÊme, et tout ce qui se trouva de Seigneurs et de Gentilshommes SuÉdois dans le chÂteau. "Les EvÊques Danois, commissaires du Pape, commencÈrent À instruire leur procÈs comme À des hÉretiques, et comme s'ils eussent ÊtÉ en pays d'inquisition; mais la procedure Étant trop longue pour des gens qui Étoient dÉjÀ condamnÉs, Christierne, dans la crainte qu'il ne se fÎt quelque revolte en leur faveur, leur envoya des bourreaux sans autre formalitÉ, pour leur annoncer qu'il falloit mourir. "Le huitiÈme de Novembre fut destinÉ pour leur supplice; on entendit dÈs le matin des trompettes et des hÉrauts de la part du Prince, qui dÉfendoient À qui que ce fÛt de sortir de la ville, sous peine de la vie: toute la garrison Étoit sous les armes: il y avoit des corps de garde aux portes, et dans toutes les places. Le canon prÊt À tirer Étoit dans la grande place, la bouche tournÉe contre les principals rues; tout le monde Étoit dans une profonde consternation; ou ne savoit À quoi aboutiroient ces mouvemens extraordinaires, lorsque sur le midi ou vit ouvrir les portes du chÂteau, et, au travers de deux files de soldats, des illustres prisonniers, la plupart encore avec les marques de leur dignitÉ, conduits À la mort par des bourreaux. "Si-tÔt qu'ils furent arrivÉs au lieu de leur supplice, un officier Danois lÛt tout haut la bulle du pape, comme l'arrÊt de leur condemnation, et il ajouta que dans le chÂtiment des coupables, le Roi ne faisoit rien que par l'ordonnance des commissaires apostoliques, et que suivant le conseil de l'ArchevÈque d'Upsal. Les EvÊques condamnÉs, et les autres prisonniers, demandÈrent avec instance des confesseurs; mais Christierne leur refusa cette consolation avec beaucoup d'inhumanitÉ, soit que ce Prince trouvÂt un rafinement de vengeance À Étendre son ressentiment sur les choses de l'autre vie, oÙ qu'il ne voulÛt pas qu'on traitÂt en Catholiques des gens qu'on venoit de condamner comme hÉretiques: il sacrifia par la mÊme politique ses amis et ses partisans, pour n'Être pas soupÇonnÉ d'avoir fait pÉrir ses ennemis: toute l'ardeur et tout le zÊle que les EvÊques de Stregnez et de Scara avoient fait paroÎtre pour ses interÊts, ne purent les exempter de la mort, la qualitÉ de SÉnateurs leur coÛta la vie, et la signature qu'ils avoient mise À la condamnation de l'ArchevÊque avec les autres SÉnateurs, fut la prÉtexte de leur supplice." (He mentions here the stratagem of Bishop Brask, related in a former note.) "On exÉcuta ensuite" (i.e. after the execution of the Bishops) "tous les Senateurs seculiers: on commenÇa par Eric Vasa, pÈre de Gustave; les Consules et les Magistrats de Stocolme, et quatre-vingt quatorze Senateurs, qui avoient ÉtÉ arrÊtÉs dans le Chateau, eurent la mÊme destinÉe. "Le Roi n'apprit qu'avec un violent chagrin qu'on n'avoit pÛ faire pÉrir quelques Seigneurs qu'il avoit proscrits particuliÈrement, et qu'on croyoit qu'ils Étoient cachÉs dans la ville. La crainte qu'ils n'Échappassent, et l'espÉrance de dÉcourrir la rÉtraite de Gustave, qu'il soupÇonnoit d'Être cachÉ dans Stocolme, lui fit confondre les innocens avec les coupables. Il abandonna la ville À la fureur de ses troupes: les soldats se jettÈrent d'abord sur le peuple qui Étoit accoura À ce triste spectacle: ils frappoient et ils tuoient indifferemment tous ceux qui Étoient assez malheureux pour se rencoutrer À leur chemin: ils passÈrent ensuite dans les meilleurs maisons de la ville, sous prÉtexte de chercher Gustave et les autres proscrits; ils poignardoient les bourgeois jusque dans les bras de leur femmes; les maisons furent mises au pillage, et la pudicitÉ des femmes et des filles exposÉe À la brutalitÉ des soldats. Rien ne fut ÉparguÉ que la laideur et la pauvretÉ: tout le reste devint la proie du soldat furieux, qui, sous les ordres et À l'exemple de son souverain, se faisoit un mÉrite de sa fureur et de son emportement." 236. And strive which first shall see the morn arise— All the transactions recorded in the Third Book are supposed to have taken place on the evening and night preceding the annual festival of Dalecarlia, a day so memorable in Swedish history. 364. And icy Meler blush'd with civil gore. A most bloody engagement took place in 1464, on the lake Meler, when frozen over, between Bishop Catil and the partizans of the twice deposed Canutson. The Bishop was victorious. 371. Suante. See the account of Steen Sture, in the note on line 15 of the First Book. 406. His patriot spirit entered in my breast. My precedent for this is Lucan, who says of the soul of Pompey, —— in sancto pectore Bruti Sedit, et invicti posuit se mente Catonis. Lib. ix. l. 17. 433. —— we are still forgot, And harmless poverty is still our lot. Gustavus appeared in a public assembly of the Sudermanian Peasants, and exhorting them to revolt, was repulsed with the following answer: "We want neither salt nor herrings under the reign of the King of Denmark, and another King could not give us more: besides, if we take arms against so great a Prince, we shall unavoidably perish." The Swedish peasantry, however, soon felt that the cruelty and tyranny of Christiern were something more than a mere report. 460. Imperial Charles, &c. "Charles-Quint entroit dans les intÈrÊts du Roi de Danemarck avec une chaleur que la seule alliance ne produit guÈre entre les potentats. On prÉtend que ce prince, le plus ambitieux de son siÈcle, n'avoit accordÉ la princesse sa soeur À Christierne, qu'À condition qu'il le reconnoitroit pour son successeur aux couronnes du Nord, en cas qu'il mourÂt sans enfans. Cette succession Étoit une piÈce importante au dessein de la monarchiÆ universelle: on sait assez que ce fut l'idole et la vision de ce Prince." P. 110, Amst. ed. 489. Ere Freedom light again her once extinguished ray. I beg leave to quote the animated lines of Lord Byron: A thousand years scarce serve to form a state: An hour may lay it in the dust: and when Shall man its shatter'd vigour renovate, Recal its glories back, and vanquish Time and Fate? 539. My spirit breath'd a purer prayer to thee— Alluding to his profession of Lutheranism, which he probably embraced while in Steen Sture's army. 564. Scarce had he finish'd —— The foregoing soliloquy is introduced for many reasons: first, to illustrate the character of the hero: secondly, to shew the difficulties which opposed, and were still destined to oppose, his memorable enterprize: thirdly, to account for his determination (Book ii. l. 509.) to leave his country: and, fourthly, to give the reader some idea of the prior calamities of Sweden, which are to be developed in a future book. These, and other motives, induced me to insert this soliloquy, which may appear rather long, but the prolixity of which the good-natured reader will excuse. 567. Rush'd instantaneous —— For the use of this word, I have many authorities in cattie: Flowers instantaneous spring— With instantaneous gleam, illumed the vault of night— An instantaneous change of thought—&c. |