The poetess of passion, perfect in expression, is more akin to French literature than to German, and so it is not surprising to discover Sapphic echoes in every period of the former from that of the erudite and artistic poetry of the PlÉiade in the sixteenth century to the present day of Maurice Donnay. In the sixteenth century Louise LabÉ was composing sonnets which burned like an ode of Sappho, and in 1556 Remy Belleau in his AnacrÉon published the first French translation of Sappho. Only three years later (1559), another of the PlÉiade, Pierre de Ronsard, who turned from his admiration of Homer and Pindar to Horace, Anacreon, and Sappho, gave in the second book of his Amours, a translation of the second ode of Sappho: Je suis un demy-dieu quand, assis vis-À-vis De toy, mon cher souci, j’escoute des devis, Devis entre-rompus d’un gracieux sourire, Souris qui me retient le coeur emprisonnÉ: Car, en voyant tes yeux, je me pasme ÉtonnÉ Et de mes pauvres flancs un seul vent je ne tire. Ma langue s’engourdit, un petit feu me court Fretillant sous la peau; je suis muet et sourd Et une obscure nuit dessus mes yeux demeure; Mon sang devient glacÉ, l’esprit fuit de mon corps, Je tremble tout de crainte, et peu s’en faut alors Qu’À tes pieds estendu sans Âme je ne meure. Ronsard also translated the famous folk-song, which has been so much imitated in all literatures, wrongly calling it an epigram: Desia la Lune est couchÉe, La poussiniere est cachÉe, Et ia la my-nuit brunette Vers l’Aurore s’est panchÉe, Et ie dors au lict seulette. In the second book of his PoÈmes a Christophile de Choiseul (Edition Laumonier V, 186), Ronsard (1556) said: Le doux Anacreon me plaist et ie voudrois que la douce Saphon Qui si bien resueilloit la lyre Lesbienne, En France accompaignast la Muse TeÏenne! Early in the seventeenth century Malherbe wrote the following stanzas for le Duc de Bellegarde Philis, qui me voit le teint blÊme, Les sens ravis hors de moi-mÊme, Et les yeux trempÉs tout le jour, Cherchant la cause de ma peine, Se figure, tant elle est vaine, Qu’elle m’a donnÉ de l’amour ... En quelle École nonpareille Auroit-elle appris la merveille De si bien charmer ses appas, Que je pusse la trouver belle, PÂlir, transir, languir pour elle Et ne m’en apercevoir pas? In 1620 Colletet published a prose imitation of Ovid, entitled Lettre de Saphon À Phaon (Les Epistres d’Ovide. Traduites en prose franÇoise. Par les sieurs Du Perron, Des Portes, de la Brosse, de Lingendes, Hedelin et Colletet. Paris, 1620). In 1660 Le Sieur Du Four translated the two odes, the first in prose, the second in verse. In 1674 that great classicist, Nicholas Boileau, who ranked the ancient writers above the modern because they had been tested through hundreds of years and because they agreed with nature and reason, included a Je sens de veine en veine une subtile flamme Courir par tout mon corps sitÔt que je te vois; Et dans les doux transports oÙ s’Égare mon Âme Je ne saurais trouver de langue ni de voix. Un nuage confus se rÉpand sur ma vue; Je n’entends plus, je tombe en de douces langueurs; Et pÂle, sans haleine, interdite, Éperdue, Un frisson me saisit, je tremble, je me meurs. In 1677 Boileau’s intimate friend, Jean Racine, produced his great tragedy in five acts, PhÈdre, based mainly on Euripides and Seneca, but including a translation of Sappho’s second ode, in Act I, scene 3, where Phaedra says about Hippolytus: Je le vis, je rougis, je pÂlis À sa vue; Un trouble s’Éleva dans mon Âme Éperdue; Mes yeux ne voyoient plus, je ne pouvois parler; Je sentis tout mon corps et transir et brÛler; Je reconnus VÉnus et ses feux redoutables, D’un sang qu’elle poursuit tourments inÉvitables. Racine’s comment was that he had “rien vu de plus vif ni de plus beau dans toute l’antiquitÉ.” In 1649 Mlle de ScudÉry in her ArtamÈne ou le “Ce qui me fait croire qu’il ne faut pas ajoÛter foy À tout ce que l’on trouve Écrit contre elle. Si elle avoit estÉ de l’humeur dont on l’a dÉpeinte, il n’y a point d’apparence qu’elle eÛt eu tant de chagrin de l’amour de Caraxus, ni qu’elle eÛt osÉ l’en reprendre avec tant d’Éclat. II ne faut pas douter que son merite ne luy eÛt fait bien des ennemis; car elle surpassoit en sÇavoir, non seulement toutes les femmes, quoi que de son temps il y en eÛt en GrÈce d’extrÉmement sÇavantes; mais elle estoit mÊme fort au dessus des plus excellens PoËtes. Je crois donc que ceux dont les vers auroient estÉ trouvez incomparables, si Sapho n’en eÛt jamais fait, ne furent pas de ses amis, et que l’envie a fait Écrire les calomnies dont on a tÂchÉ de la noircir. Je ne puis mÊme m’imaginer que les Mityleniens eussent eu tant de veneration pour une personne si dÉcriÉe, et qu’aprÉs sa mort, ils eussent fait graver son image sur leur monoye.” Sappho’s name was in vogue at this time wherever love was the subject of conversation Laure. Quoi! auriez-vous voulu qu’on eÛt Établi que les femmes attaqueraient les hommes? Sapho. Eh! quel besoin y a-t-il que les uns attaquent, et que les autres se dÉfendent? Qu’on s’aime de part et d’autre autant que le coeur en dira. Laure. Oh! les choses iraient trop vite, et l’amour est un commerce si agrÉable, qu’on a bien fait de lui donner le plus de durÉe que l’on a pu. Que serait-ce, si l’on Était reÇu des que l’on s’offrirait? Que deviendraient tous ces soins qu’on prend pour plaire, toutes ces inquiÉtudes que l’on sent, quand on se reproche de n’avoir pas assez plu, tous ces empressemens avec lesquels on cherche un moment heureux, enfin tout cet agrÉable mÉlange de plaisirs et de peine qu’on appelle amour? Rien ne serait plus insipide, si l’on ne faisait que s’entr’aimer. Sapho. HÉ bien, s’il faut que l’amour soit une espÈce de combat, j’aimerais mieux qu’on eÛt obligÉ les hommes À se tenir sur la dÉfensive. Aussi-bien, Laure. Oui, mais ils se dÉfendraient trop bien. Quand on veut qu’un sexe rÉsiste, on veut qu’il rÉsiste autant qu’il faut pour faire mieux goÛter la victoire À celui qui attaque, mais non pas assez pour la remporter. Il doit n’Être ni si faible, qu’il se rende d’abord, ni si fort, qu’il ne se rende jamais. C’est lÀ notre caractÈre, et ce ne serait peut-Être pas celui des hommes. Croyez-moi, aprÈs qu’on a bien raisonnÉ ou sur l’amour, ou sur telle autre matiÈre qu’on voudra, on trouve au bout du compte que les choses sont bien comme elles sont, et que la rÉforme qu’on prÉtendrait y apporter gÂterait tout. In 1684 une Demoiselle de qualitÉ de la Province de Guienne, only eighteen years of age, published a French prose translation of the two odes in the Mercure for July. In the same year appeared a metrical translation with Greek text, philological notes, and a life of Sappho in which are repeated the stories of disgraceful love, infatuation for Phaon, and the Leucadian Leap, Les PoÉsies d’Anacreon et de Sapho traduites de Grec en vers FranÇois. In 1692 we have another verse rendering by Baron de Longuepierre, who added a feeble poem in which Apollo vainly defends Sappho against the arrows of love. In 1694 DesprÉaux in his edition of the Treatise on Reine des nuits, dis quel fut mon amour, Comme en mon sein les frissons et la flamme Se succÉdaient, me perdaient tour À tour; Quels doux transports ÉgarÈrent mon Âme; Comment mes yeux cherchaient en vain le jour. Comme j’aimais et sans songer À plaire, Je ne pouvais ni parler ni me taire. In 1766 appeared Blin de Sainmore’s Lettres de Sapho a Phaon with an account of Sappho’s life and verse translations of her poems. In 1773 appeared a new version of Sappho in prose by Moutonnet de Clairfons which proved so popular that it went through at least seven editions. In 1798 MÉrard de Saint-Just published his verse translations of Sappho and Anacreon. Toward the end of the eighteenth century, Ci-gÎt Sapho, la gloire de nos jours; Muses, pleurez, pleurez, Amours. In the seventh chapter an account is given of Sappho’s last days, and Theagenes is revealed as her rival, to whom Phaon has united himself by a solemn bond. To Sappho is attributed a long ode in which she invokes Venus and all the infernal deities against her lover. She ends, however, by returning to the sweetness and generosity which had originally characterized her. I quote only the last two stanzas: Et toi, mes amours, Ô ma lyre, Douce compagne de mes jeux, Repose toi, ma muse expire; ReÇois ici mes longs adieux. Mourons; allons au noir rivage: Heureuse, si, dans mon ennui, De Phaon emportant l’image, Je peux aux morts parler de lui. The author evidently was fond of Sappho and would compare with her Louise LabbÉ, la belle CordiÈre (1526-1566), a woman of tender heart and with a taste for passion, who wrote verses In 1777 Belle Étoile du soir, digne ornement des cieux, ... Tu fais rentrer le paisible troupeau, Qui du loup ravisseur craint la dent meurtriÈre; La fille qui, joyeuse, a quittÉ le hameau, Tu la ramÈnes À sa mÈre. Ces timides amans que VÉnus a touchÉs, Qui brÛlent d’Être unis ensemble, Et que l’Éclat du jour avait tenus cachÉs, C’est ton retour qui les rassemble. The fifth ode renders the fragment on virginity: La Jeune ÉpousÉe. Rose de la pudeur que l’amour a cueillie, Votre premier Éclat me sera-t-il rendu? La VirginitÉ. Ingrate, vous l’avez perdu; Vous l’avez perdu pour la vie. The sixth ode is simply Boileau’s translation of the Aphrodite hymn. The thirteenth, addressed to Atthis, combines two fragments: La lune au front d’argent et sa cour lumineuse Echappent À mes yeux; D’un voile plus obscur la nuit silencieuse Enveloppe les cieux. Heure que j’attendais, qui dut m’Être si chÈre, Tu t’es Évanouie, et je suis seule, Ô dieux! The fifteenth ode is a dialogue between Alcaeus and Sappho, and the note interprets as Sappho’s refusal of Alcaeus the famous fragment of which a Latin version is given: Si nobis amicus es, torum accipe junior; Non enim sustinebo consvescere cum seniore, Dum junior sim. Other writers of the end of the eighteenth century who paid tribute to Sappho were Bernis in his ode Harmonie, Lebrun in his epigrams, Parny in his JournÉe champÊtre, La Harpe, who knew only ode II, and M. LegouvÉ who writes: Vois Sapho; par Phaon trahie Elle rendit son art confident de ses pleurs Et merita la gloire en chantant ses malheurs. Other French translators of about this time are Regnier Desmarais, Ricard, Langeac, Deguerle, Marchena, Blin de Sainmore, AbbÉ Batteux, and Gorsse in Journal des Muses III. In the nineteenth century the echoes and translations of Sappho are even more numerous. The first of the neo-classicists, AndrÉ ChÉnier, follower of Boileau, owed much of his enthusiasm for the Greeks to his Greek mother, and imitated Sappho in the ode which he wrote for his love, the ode so admired by Alfred de Musset, the charming poet who also knew the sufferings of love: Fanny, l’heureux mortel qui prÈs de toi respire Sait, À te voir parler, et rougir, et sourire De quels hÔtes divins le ciel est habitÉ ... He also used the fragment about Virginity (Latouche edition I, p. 64). Jacques Delille, the famous translator of Virgil, and the great representative of didactic and descriptive poetry, in his PoÉsies fugitives (1802) made a good literal translation. In the same year Vanderbourg published some verses camouflaged as the PoÉsies de Madame Clotilde de Surville, who was supposed to have lived 1405-1495. He gives a translation of the famous second ode, of which I quote only the last stanza: S’ennuagent mes yeux: n’oy plus qu’ennuy, rumeurs, Je brÛle, je languis; chauds frissons dans ma veine Circulent: je pÂlis, je palpite, l’haleine Me manque, je me meurs. The two great initiators of Romanticism also knew Sappho. Madame de StaËl wrote (1811) a drama published 1821, Sapho, in which Phaon is divided between love for two different women. Chateaubriand in 1809 in Les Martyrs O vous, pourtant, qui faites mes dÉlices, Du noeud sacrÉ qui vous attache À moi, J’attends encor les plus tendres offices, Je les rÉclame au nom de votre foi. Blanche Cydno, dÉlicate Amynthone, Douce Pyrine, intÉressante Athis, Brune AndromÈde, agrÉable Gellone, Blonde Gorgo, sÉduisante MnaÏs! Par vos attraits, par vos grÂces naÏves, AuprÈs de moi captivez mon amant; Pour qu’il y trouve un doux enchantement, Soyez sans cesse À lui plaire attentives. Vous dont Euterpe anime les accens, Belle MÉgare, adorable Gyrinne, Docte Gougile, ingÉnieuse Erinne, Pour le charmer adressez-lui vos chants. Vous qui brillez dans l’art de Therpsycore, Aimable Eunique, ÉlÉgante Anagore, Devant ses yeux, avec agilitÉ, Formez les pas qu’aime la voluptÉ. Toi, Damophile, ornement de la GrÈce, Dis À Phaon qu’au milieu des neuf Soeurs J’ai quelquefois, sur les bords du Permesse, RespirÉ l’air qu’y parfument les fleurs. Et toi, surtout, sensible TÉlÉsile, Accorde-moi ton bienfaisant secours, Pour conserver Phaon À mes amours, Que ton esprit en moyens soit fertile. Dans ses regards interroge ses goÛts, De ses desirs occupe-toi sans cesse, Pour que mon coeur par tes soins les connoisse, Et qu’aisÉment il les prÉvienne tous. Parmi les sons dont retentit ma lyre, RÉpÈte-lui ceux que VÉnus m’inspire; Et, par l’objet dont il est adorÉ, Qu’il ait l’orgueil de se voir honorÉ. Toutes, enfin, Ô mes tendres amies! A mon amant composez une cour; Le doux lien dont nous sommes unies S’affermira par les noeuds de l’amour. The second elegy in the fourth canto has a pretty imitation of the famous third fragment. Sappho dissuades Phaon from his jealousy of Alcaeus, which of course is not an ancient legend, in the following words: Comme un lÉger brouillard fuit aux rayons du jour, Que ton soupÇon expire À la voix de l’amour! Sois sans crainte, Phaon! Contre un sexagÉnaire Est-ce À toi de lutter dans l’art heureux de plaire? A toi dont la jeunesse et les riants attraits Du chantre de Lesbos effacent les succÈs, Autant qu’on voit Diane effacer la lumiÈre De ces astres dorÉs dont se pare la nuit, Quand l’Éclat argentÉ du char qu’elle conduit Annonce que des cieux elle ouvre la barriÈre? In the third elegy of the same canto is an elaboration of the fragment on the power of love, the bitter-sweet irresistible creature, and in the first elegy of the fifth canto there is an echo of the fragment about wealth without virtue. In long notes on the second elegy of the fifth book Gorsse cites de Sivry’s or Sauvigny’s verse translations or paraphrases in French, and Latin versions of a score of other fragments and of the Pelagon and Timas epitaphs. In the first elegy of the sixth canto the Sapphic symptoms of love are used: Je sens mes cheveux se dresser, Mon sang brÛler d’une flamme rapide, Ou dans mes veines se glacer. The third elegy of the same canto is an adaptation of the hymn to Aphrodite and in the notes Not many have written elegies on Sappho, but Gorsse was followed in 1812 by Touzet, who wrote Sapho, poËme ÉlÉgiaque. It was in 1816 that Lamartine wrote his mediocre imitation of Sappho’s great hymn, calling it L’ÉlÉgie antique. It is in the cold restored pseudo-classical style of Casimir Delavigne: Dieux, quels transports nouveaux! Ô dieux, comment dÉcrire Tons les feux dont mon sein se remplit À la fois? Ma langue se glaÇa, je demeurai sans voix, Et ma tremblante main laissa tomber ma lyre. Here is Lamartine’s own comment: “Un soir, en rentrant d’une de ces excursions, pendant laquelle nous avions relu la strophe unique, mais brÛlante, de Sapho, sorte de VÉnus de Milo, pareille À ce dÉbris dÉcouvert par M. de Marcellus, qui contient plus de beautÉ dans un fragment qu’il n’y en a dans tout un musÉe de statues intactes, je m’enfermai, et j’Écrivis le commencement grec de cette ÉlÉgie ou de cette hÉroÏde....” In one of his Nouvelles MÉditations poÉtiques (not printed till 1823) he describes the suffering of the abandoned Sappho and her last, In 1815 came Sapho, poÈme en trois chants par C. T. In 1820 Lazare Carnot published an excellent verse translation of the second ode, Les Symptomes d’Amour, and in 1827 E. VeÏssier-Descombes, a translator also of Anacreon, published his classic rendering. In 1828 followed the poetical version of Cousin and Girodet; in 1835, Breghot du Lut., in prose and poetry; in 1836 Alexandre Hope’s Sapho, a poem of about ten pages; in 1843, prose renderings in Michaud’s Biographie Universelle; in 1847, Marullot et Grosset, in verse. In 1842, in the Cariatides, ThÉodore de Banville, one of the last Baudelaire (1821-1867), the morbid realist, uses the story of the Leucadian Leap in his Lesbos: —L’oeil d’azur est vaincu par l’oeil noir que tachÈte Le cercle tÉnÉbreux tracÉ par les douleurs De la mÂle Sapho, l’amante et le poÈte! Plus belle que VÉnus se dressant sur le monde. In a literary fragment (1845), entitled Sapho, he refers to a famous and remarkable tragedy Oui, Phaon, je vous aime; et, lorsque je vous vois, Je perds le sentiment et la force et la voix. Je souffre tout le jour le mal de votre absence, Mai qui n’Égale pas l’heur de votre prÉsence; Si bien que vous trouvant, quand vous venez le soir, La cause de ma joie et de mon dÉsespoir, Mon Âme les compense, et sous les lauriers roses Etouffe l’ellÉbore et les soucis moroses. In 1873 we have a translation by Etienne Prosper Dubois-Gucham, La Grecque PlÉiade; in 1878 that of P. L. Courier; in 1882, the verses of de la Roche. About this time J. Richepin published in his undated romance, Grandes Amoureuses, prose translations of several fragments, and in 1889 Paul Lenois made a prose version. In 1884, Alphonse Daudet, after writing a novel on French life and customs as a warning to young men, and picturing a courtesan carried upstairs in the arms of her lover, gave the courtesan and the novel the title of Sapho. Soon afterwards appeared anonymously Madame E. Caro’s One of the latest French imitations of Sappho is by that great reviver of Aristophanes, Maurice Donnay, whose comedies have attracted such large audiences in Europe. In his Lysistrata (Act I, scene II), Donnay makes the pretty Hirondelle as she walks along the shore of the violet sea recite to the accompaniment of the music of the waves the song which divine Sappho composed for the Egyptian courtesan Rhodopis, although we have no evidence for such a song: Rhodopis, ton amant est comme Un dieu: son bonheur me courrouce. Quand je pense que c’est un homme Pour qui ta voix se fait si douce, Et que c’est Charaxos, mon frÈre, Qui possÈde ta chair superbe, Et ta BeautÉ dont j’Étais fiÈre, Je deviens plus verte que l’herbe. Mes yeux se troublent, mes oreilles S’emplissent de murmures vagues Et de grandes rumeurs pareilles Au bruit que fait le choc des vagues. Et voilÀ qu’une sueur froide Inonde tout mon corps qui tremble, Puis, je reste sans souffle, et froide Ainsi qu’un cadavre, il me semble Que je meurs! que je meurs! This, of course, is an echo of the famous second ode of Sappho which has influenced all ages and countries and continues so to do. Hardly a year passes without some translation or reminiscence of it in Greece or Italy, in France or Germany, in England or America. |