LE huit mars nous fÛmes trÈs heureuses d’avoir avec nous le Duc de TrÉvise. Comme Mlle. Carse Était dans l’est, Mlle. Bagier le prÉsenta. Il fit une confÉrence des plus intÉressantes sur la reconstruction de l’ancienne architecture de la France, accompagnÉe de projections charmantes de son sujet. Il expliqua de son ravissant accent franÇais, les dÉgÂts qu’on fait aux beaux Édifices du moyen Âge. Il nous soumit le projet de son organisation pour conserver divers anciens chÂteaux, aux villages diffÉrents de la France pour chaque ville amÉricaine qui aura appropriÉ de l’argent pour cette cause, donnant ainsi le moyen aux citoyens de chaque ville d’avoir un logis quand ils visiteront le village ou la ville dans lesquels leur chÂteau particulier se trouve. L’argent qu’on a dÉjÀ donnÉ a fait beaucoup pour avancer le travail de la reconstruction. Nous fÛmes charmÉes de dÉcouvrir que, quand il retombait dans sa langue natale, nous pÛmes avec peu de difficultÉ le comprendre. AprÈs que la derniÈre projection eut ÉtÉ montrÉe, le Duc voulut beaucoup une photographie des ÉlÈves de Northrop School. En consÉquence nous nous assemblÂmes au cÔtÉ sud de l’École oÙ Mlle. Bagier fit deux photographies des jeunes filles avec leur ami nouveau-trouvÉ. Comme cela fut une grande occasion pour les plus jeunes filles, elles dÉmandÈrent À grands cris des autographes que le Duc leur donna avec bontÉ. Ensuite on nous rappela À nos leÇons qui nous semblÈrent plus tristes que d’ordinaire par contraste avec l’heure trÈs interessante que nous venions de passer avec le Duc.