1 (return) 2 (return) 3 (return) 4 (return) “There is a small bird, which is said to be peculiar to the Blasquet Islands, called by the Irish, Gourder, the English name of which I am at a loss for, nor do I find it mentioned by naturalists. It is somewhat larger than a sparrow; the feathers of the back are dark, and those of the belly are white; the bill is straight, short, and thick; and it is web-footed: they are almost one lump of fat; when roasted, of a most delicious taste, and are reckoned to exceed an ortolan; for which reason the gentry hereabouts call them the Irish Ortolan. These birds are worthy of being transmitted a great way to market; for ortolans, it is well known, are brought from France to supply the markets of London.”—See Smith’s Account of the County of Kerry, p. 186. 5 (return) 6 (return) 7 (return) 8 (return) 9 (return) 10 (return) 11 (return) 12 (return) 13 (return) 14 (return) 15 (return) 16 (return) 17 (return) “Since trifles make the sum of human things, And half our mis’ry from our foibles springs; Since life’s best joys consist in peace and ease, And few can save or serve, but all may please: Oh! let th’ungentle spirit learn from hence, A small unkindness is a great offence. Large bounties to bestow we wish in vain; But all may shun the guilt of giving pain.” SENSIBILITY. By Mrs. H. More.] 18 (return) “Cette dÉfinition, que nous traduisons littÉralement, n’est pas lumineuse; elle conviendrait Également À la maniÈre dont Alexandre parle et agit dans Plutarque, et À celle dont Sancho parle et agit dans Cervantes. II y a apparence que l’humour est comme l’esprit, et que ceux qui en ont le plus ne savent pas trop bien ce que c’est. “Nous croyons que ce genre de plaisanterie consiste surtout dans des idÉes ou des tournures originales, qui tiennent plus au caractÈre qu’À l’esprit, et qui semblent Échapper À celui qui les produit. “L’homme d’humour est un plaisant sÉrieux, qui dit des choses plaisantes sans avoir l’air de vouloir Être plaisant. Au reste, une scene de Vanbrugh ou une satire de Swift, feront mieux sentir ce que c’est, que toutes les dÉfinitions du monde. Quant À la prÉtention de quelques Anglais sur la possession exclusive de l’humour, nous pensons que si ce qu’ils entendent par ce mot est un genre de plaisanterie qu’on ne trouve ni dans Aristophane, dans Plaute, et dans Lucien, chez lea anciens; ni dans l’Arioste, le Berni, le Pulci, et tant d’autres, chez les Italiens; ni dans Cervantes, chez les Espagnols; ni dans Rabener, chez les Allemands; ni dans le Pantagruel, la satire MÉnippÉe, le Roman comique, les comÉdies de MoliÈre, de DufrÈny, de Regnard etc., nous ne savons pas ce que c’est, et nous ne prendrons pas la peine de la chercher.”—Suard, MÉlanges de LittÉrature, vol. iv. p. 366.] 19 (return) 20 (return) 21 (return) |